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Dasypeltis latericia TRAPE & MANÉ, 2006

IUCN Red List - Dasypeltis latericia - Least Concern, LC

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Dasypeltis latericia »

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Higher TaxaColubridae, Colubrinae, Colubroidea, Caenophidia, Alethinophidia, Serpentes, Squamata (snakes)
Subspecies 
Common NamesG: Braunflecken-Eierschlange 
SynonymDasypeltis gansi latericia TRAPE & MANÉ 2006
Dasypeltis latericia — TRAPE et al. 2012
Dasypeltis latericia — WALLACH et al. 2014: 211
Dasypeltis latericia — BATES & BROADLEY 2018: 2 
DistributionSenegal, Mali, Guinea (Conakry)

Type locality: Boundoukondi (12°31’N, 12°20’W), Sénégal oriental.  
Reproductionoviparous (not imputed, fide Zimin et al. 2022) 
TypesHolotype: IRSNB 2615 (anciennement IRD S-2088), récolté entre mars 1992 et février 1993 par un paysan de ce village qui l’a remis aux auteurs. 
DiagnosisDiagnosis: not given (although descriptions of types are provided).

Description des autres spécimens: Les 144 spécimens du Sénégal, de Guinée et du Mali se répartissent en 59 mâles, 66 femelles et 19 spécimens mutilés. Le plus grand mâle mesure 615 mm, la plus grande femelle 845 mm. La longueur moyenne des mâles est de 511 mm (écart-type : ± 88 mm), celle des femelles est de 647 mm (écart-type : ± 120 mm). Le rapport LT/LQ varie de 4,9 à 6,1 chez les mâles (moyenne : 5,6; écart-type : ± 0,3) et de 6,3 à 7,6 chez les femelles (moyenne : 6,9; écart-type : ± 0,3). Le nombre de rangs dorsaux varie de 21 à 25 chez les mâles (moyenne : 21,9) et de 23 à 25 chez les femelles (moyenne : 23,1). Le nombre de ventrales varie de 219 à 243 chez les mâles (moyenne : 231,8; écart-type : ± 5,3) et de 235 à 259 chez les femelles (moyenne : 244,8; écart-type : ± 4,5). Le nombre de sous-caudales varie de 66 à 86 chez les mâles (moyenne : 75,2; écart-type : ± 3,6) et de 59 à 72 chez les femelles (moyenne : 64,9; écart-type : ± 3,0). La frontale présente toujours un petit nombre de fossettes apicales qui sont réparties uniquement sur ses rebords. La nasale est toujours semi-divisée. Il existe une préocu- laire et presque toujours deux post-oculaires (une seule préoculaire d’un seul côté de la tête chez 3 spécimens). Les labiales supérieures sont toujours au nombre de sept, la troisième et la quatrième bordant l’œil. La formule temporale habituelle est 2+3, parfois 2+2 ou 2+4, rare- ment 2+5 . Les labiales inférieures sont toujours au nombre de sept, les trois premières en contact avec les mentonnières antérieures, mais la position avancée d’une ou deux écailles dorsales simule parfois la présence de labiales inférieures supplémentaires. Les mentonnières postérieures sont toujours beaucoup plus petites que les mentonnières antérieures. Il n’existe jamais de gulaires.
La coloration de tous les spécimens qui ont été conservés dans le formol puis dans l’al- cool est similaire à celle des types. On observe toujours des taches médianes sombres et des chevrons bien marqués immédiatement en arrière de la tête, la coloration noire intéressant non seulement la peau intersticielle mais souvent aussi le rebord des écailles. Sur le reste du corps, les tâches médianes et les chevrons sont peu apparents mais restent généralement plus ou moins distinguables du fait de la persistance à leur niveau de la coloration noire de la peau intersticielle. Le dessous de la tête, du corps est de la queue est uniformément beige, à l’ex- ception de la partie latérale des ventrales qui est souvent ponctuée d’une petite tache sombre.
Chez les cinq spécimens conservés uniquement dans l’alcool, la coloration d’ensemble est similaire à ceux fixés dans le formol, mais les taches et chevrons sont bien distincts sur l’ensemble du corps et un dessin en forme de V est apparent sur le dessus de la tête. Observés vivants ou fraîchement tués, ces spécimens présentaient des taches et chevrons brun rouge soulignés de noir et une couleur de fond rosâtre. Un dessin en forme de V était nettement apparent sur le dessus de la tête. 
CommentDistribution: see map in GÖTHEL 2015: 19.

Habitat: partly arboreal (Harrington et al. 2018). 
EtymologyNamed after the reddish color that it presents and which is also that of the lateritic soils of the regions of West Africa where it is found. 
References
  • Bates, M.F. & D.G. Broadley 2018. A revision of the egg-eating snakes of the genus Dasypeltis Wagler (Squamata: Colubridae: Colubrinae) in north-eastern Africa and south-western Arabia, with descriptions of three new species. Indago 34 (1): 1-95 - get paper here
  • Chippaux, Jean-Philippe & Kate Jackson 2019. Snakes of Central and Western Africa. Johns Hopkins University Press, 448 pp. [detaileld review in HR 51 (1): 161] - get paper here
  • Göthel, Helmut 2015. Die Pazifisten unter den Schlangen – Afrikanische Eierschlangen der Gattung Dasypeltis. Draco 16 (61): 6-21 - get paper here
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  • TRAPE, JEAN-FRANÇOIS & CELLOU BALDÉ 2014. A checklist of the snake fauna of Guinea, with taxonomic changes in the genera Philothamnus and Dipsadoboa (Colubridae) and a comparison with the snake fauna of some other West African countries. Zootaxa 3900 (3): 301–338 - get paper here
  • Trape, Jean-François & Youssouph Mané 2017. The snakes of Mali. Bonn zoological Bulletin 66 (2): 107–133 - get paper here
  • Trape, S.; Mediannikov, O.; Trape, J.F. 2012. When colour patterns reflect phylogeography: New species of Dasypeltis (Serpentes: Colubridae: Boigini) from West Africa. Comptes Rendus Biologies 335 (7): 488–501 - get paper here
  • Wallach, Van; Kenneth L. Williams , Jeff Boundy 2014. Snakes of the World: A Catalogue of Living and Extinct Species. [type catalogue] Taylor and Francis, CRC Press, 1237 pp.
  • Zimin, A., Zimin, S. V., Shine, R., Avila, L., Bauer, A., Böhm, M., Brown, R., Barki, G., de Oliveira Caetano, G. H., Castro Herrera, F., Chapple, D. G., Chirio, L., Colli, G. R., Doan, T. M., Glaw, F., Grismer, L. L., Itescu, Y., Kraus, F., LeBreton 2022. A global analysis of viviparity in squamates highlights its prevalence in cold climates. Global Ecology and Biogeography, 00, 1–16 - get paper here
 
External links  
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